Le projet s’implante sur les friches d’une ancienne usine de dentelles « DARQUER ». Bâtiment repéré au sein de la ZPPAUP de Calais, une partie de l’usine a pu être sauvegardée et intégrée au projet. L’écriture architecturale est faite à partir d’un dialogue entre le langage contemporain du projet et les éléments de patrimoine.

L’ensemble se compose d’un immeuble de 50 logements collectifs locatifs (répartis du Type 1 au Type 4), de 8 maisons individuelles locatives et de 20 logements individuels en accession.
L’immeuble vient s’appuyer sur la façade conservée de l’ancienne usine.
Le travail de composition des maisons a été basé sur une redéfinition contemporaine de la maison de ville, visant à assurer la densité nécessaire au projet tout en favorisant l’individualité des logements. Une dichotomie est faite entre les maisons en front à rue, et leur rôle très urbain et celle en cœur d’ilot implanté dans un espace paysager.